Le développement du football en 2008, les Espagnols ont entamé une série de réformes tactiques, leur tempête passagère a balayé le monde, la tempête a culminé avec la Coupe du monde 2010. En fait, lors de la Coupe du monde 2006, l’entraîneur de l’époque, Aragones, avait déjà déterminé le style de l’Espagne pour les sept ou huit prochaines années, voire une époque. Le jeu tactique traditionnel d’un ailier avec un avant-centre haut et un deuxième attaquant a été remplacé par des passes courtes et la possession. Après la défaite de l’Espagne contre la France en 2006, l’Espagne a continué sur ses traces et a remporté la Coupe d’Europe en 2008. Lors de la Coupe du monde 2010, l’entraîneur-chef est passé d’Aragones à Bosque, mais l’objectif tactique n’a pas changé.
Avant la Coupe du monde, le milieu de terrain en triangle de fer d’Iniesta, Xavi et Busquets à Barcelone s’était avéré être la meilleure combinaison de milieu de terrain au monde. Bosque ne les a pas démantelés, mais les a transformés. Parce que l’Espagne n’est pas Barcelone, Torres n’est pas Messi. Busquets et Xavi Alonso forment une paire de doubles milieux de terrain pour fournir une barrière protectrice pour la ligne arrière, tandis que Xavi et Iniesta ont plus d’énergie pour participer à l’attaque en zone avant, surtout qu’Iniesta est vaincu.Complètement libéré, sa percée et ses dribbles sont difficiles pour tout le monde. adversaire contre lequel se prémunir, tandis que Xavi se concentre sur l’organisation des passes. Sur la ligne arrière, Capdevila et Ramos sont toujours à gauche et à droite comme la Coupe d’Europe.Pique est devenu le défenseur principal, en partenariat avec Puyol.Derrière eux se trouve le légendaire gardien et capitaine Casillas.
Sur la ligne d’attaque espagnole, Torres et Villa étaient les principaux partenaires au départ. Villa a marqué 5 des 6 premiers buts de l’Espagne, envoyant l’équipe en demi-finale. En demi-finale, Torres a été remplacé par l’ailier barcelonais Pedro, tandis que Villa a été dominée à la pointe de l’attaquant. En demi-finale, la tête de Puyol a marqué une tradition pour l’équipe allemande, qui était le seul but des 56 coups de pied de coin de l’Espagne (le premier des équipes). En finale, le but d’Iniesta en prolongation a marqué les Pays-Bas.
Dans l’histoire de la Coupe du monde, il n’y a jamais eu d’équipe championne avec moins de 10 buts au total, mais l’Espagne a remporté le championnat avec 8 buts. L’équipe espagnole ne s’est pas appuyée sur des contre-attaques défensives pour gagner, mais leur forte capacité de maniement du ballon et leur capacité de pression ont éloigné le ballon de leur propre moitié de terrain. Ils n’ont concédé que 2 buts dans tous les matchs et n’ont concédé aucun but lors du KO. tour. La splendeur de l’équipe espagnole n’a pas laissé d’impression sur les données, mais c’est peut-être à cause de leur splendeur que les adversaires utilisent diverses méthodes pour les gérer, comme la réduction des contre-attaques défensives, comme l’augmentation du contact physique, ce qui conduit finalement à des buts. dans chaque jeu. Pas beaucoup. L’impression de l’équipe espagnole se reflète dans la scène du jeu. Le contrôle puissant et la pression font penser aux gens que le football peut être joué comme ça.
Le succès de l’équipe espagnole s’est poursuivi jusqu’à l’Euro 2012, et avec le succès de Barcelone, ce vent Tiki-Taka s’est répandu dans le monde entier. Lors de la Coupe du monde 2014, l’équipe espagnole a toujours adhéré au même style tactique.
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