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Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Tunisia national football team » (voir la liste des auteurs). Henri Bisson prend les destinés de la section football le 16 octobre 1947, succédant à Eugène Brault. Les décisions sportives sont effectuées par l’entraîneur Michel Le Milinaire dont la voix est prépondérante, mais sont toujours l’objet d’une discussion avec Henri Bisson et les dirigeants qui l’entourent dont Henri Mauduit, un ancien joueur professionnel. Le Milinaire est un ancien joueur du club, repéré par Henri Bisson. Challenge du Fair-play (1 point par joueur averti, 3 points par joueur exclu). En 1975 l’équipe est rejointe par un joueur d’exception, Raymond Keruzoré. D’âpres discussion ont eu lieu qui ont conduit par exemple à ne pas retenir Thierry Dusautoir (histoire trop récente et rôle important de Skrela dans l’histoire du club), ni Albert Cigagna en 8, tant l’aura de Barran, capitaine de la Vierge rouge de 1947 était grande.
Jean-Marc Furlan, etc. Le 24 août 1979, 20 849 spectateurs assistent à la réception de l’AS St-Étienne (défaite 2-3), ce qui constitue le record d’affluence du club. Début décembre, devant 20 024 spectateurs, les Tango se jouent des mythiques Verts de l’AS Saint-Étienne (3-1), champions en titre, grâce à un triplé de Jacky Vergnes. Malgré tout, le Stade lavallois termine la saison à la dixième place, devant des clubs comme le PSG, Lyon ou encore Bordeaux. En 1945, les compétitions reprennent et le Stade lavallois retrouve la Promotion d’Honneur de la ligue de l’Ouest. La montée en 2e division : « Entraîneurs : Là, pas de problèmes, le Stade a la chance d’avoir un solide noyau de moniteurs et d’animateurs bien groupés autour de Michel Le Millinaire qui est pour nous l’entraîneur type, à la fois ferme et bon, mais surtout excellent pédagogue. L’entraîneur André Sorel, présent depuis 1954, maillot de foot pas cher est démis de ces fonctions et remplacé par Robert Heuillard. En plus des footballeurs professionnels arrivés au mois de juillet 1976, des anciens Stadistes restés dans l’effectif comme amateurs prennent une part prépondérante dans le bon comportement de l’équipe : Alain Desgages, Roger Bertin, Jacques Lhuissier ou encore André Clair. Chaque année, l’équipe est renforcée.
L’équipe est complétée par des jeunes comme Patrick Papin, Roger Bertin et Yannick Bonnec. L’équipe est alors emmenée par Arlette Reni, et surtout par la jeune Anne-Marie Colchen (21 ans en 1946) venue du Havre. Pour la saison 1975-1976, l’équipe est composée de plusieurs joueurs expérimentés : les vétérans Georg Tripp et Daniel Rodighiero sont épaulés par Francis Smerecki, Alain Desgages et Lionel Lamy. Deux des dirigeants principaux, Francis Le Basser et Pierre Coste, membres du mouvement de résistance intérieure Libération-Nord, sont arrêtés par les Allemands et déportés. Celui-ci est alors en mauvais termes avec les dirigeants du Stade rennais, notamment le président Bernard Lemoux, où il a été formé. L’équipe redescend dès la saison suivante, après une défaite lors de la dernière journée face au Stade briochin. À l’issue de la saison suivante, terminée à la 4e place, une réforme des championnats français permet au SL d’intégrer le groupe Centre de Division 2. La montée du club dans la nouvelle deuxième division fait l’objet de nombreuses discussions tant au comité directeur du Stade Lavallois qu’à la Commission de Football.
Fille dynamique et douée, elle joue dans l’équipe des Bleus de Port-Marie à partir de la saison 2 et fût la deuxième fille de l’équipe, recrutée par Tag après sa démonstration impressionnante de ses talents de joueuse. La deuxième saison du club en première division démarre remarquablement puisqu’au bout de huit matches, les Mayennais sont troisièmes, à trois points des deux premiers. Les trois saisons suivantes voient le club obtenir son maintien en CFA. Après un départ complètement manqué (le club est 19e après sept journées), les Lavallois opèrent un formidable redressement de situation et terminent finalement à la douzième place au terme du championnat, qui leur assure un nouveau maintien. Les joueurs lavallois poursuivent leur progression lors des saisons suivantes, assurant chaque saison un maintien confortable malgré le resserrement du championnat de 48 à 36 équipes. Pour sa première saison en première division, les Lavallois parviennent à se classer seizièmes, devant Valenciennes, Angers, Lille et Rennes. Le club termine seizième devant Valenciennes, le Paris FC et Reims. Le club s’ancre alors en DH, à laquelle il participe à cinq éditions d’affilée.
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